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I told you so...
1 novembre 2011

N'importe où, n'importe quand

 

     J'ai envie d'un kebab. Mais étant donné que je viens de dépenser presque l'intégralité de ma prime ce week-end...je vais rester là où je suis c'est-à-dire sur mon lit, en pyjama, et plutôt manger les knacki de mon frigo avec ketchup biscottes ce soir.

      Hier matin j'ai ouvert les yeux et j'ai su dès les premières secondes, en regardant la lumière du jour filtrer les stores, qu'il faisait beau. Je n'ai pas levé les stores, parce qu'il ne faut pas abuser il n'était que 9h, en pont, et je voulais faire la grasse mat'. Qu'à cela ne tienne, le copain lui, s'est levé et a levé les stores... Il a décidé qu'on allait sortir bruncher. Depuis le temps que je le tannais avec mes brunchs, là j'avais franchement la flème. Entre-temps, j'ai reçu mon horoscope quotidien par texto, qui me disait que mon "mal de dos [allait] gâcher cette journée". Naturellement, plan B: lui montrer le texto en faisant la moue, jusqu'à ce qu'il craque pour me faire un massage. J'ai pas eu mon massage. On est ensuite sorti en quête de pancakes, bacon et autre salade de fruits. Sous un magnifique soleil d'automne.

      Je suis l'heureuse propriétaire de nouvelles lentilles couleur caramel et d'un nouveau pull en laine en forme de cape :) Je vais mettre les deux en même temps demain au boulot et si on me demande si c'est nouveau je répondrai "ça ? nouveau ? nooon tu rigoles ça fait longtemps !" Je ne sais toujours pas pourquoi je fais ça.

     Ce matin en ouvrant les yeux, j'ai su dès les premières secondes, en regardant la lumière du jour filtrer les stores, qu'il faisait beau. J'ai levé les stores, il pleuvait. Je suis retournée m'allonger sur mon canapé à côté de mes citrouilles, en attendant que mes copains de soirée se lèvent, et puis. Rentrer chez soi sous la pluie, en se disant que demain on reprend le boulot. Regarder dehors les parapluies et les Parisiens dessous, tandis que le métro traversait la capitale. Il y avait du monde. Il y a toujours du monde dans les transports les jours fériés. Je n'ai pas pu m'empêcher de regarder les quais à chaque station, cherchant inconsciemment, ne trouvant pas, mon Thomas que je ne reverrai plus jamais. Je crois que je me suis forcée à l'oublier mais au fond ce n'est pas le cas. Il m'est arrivé de croiser à l'autre bout du monde au hasard d'une rue australienne, une connaissance suédoise que je croyais ne plus jamais revoir de toute ma vie. On dit que le monde est petit. Alors peut-être qu'un jour je le recroiserai, Thomas. N'importe où, n'importe quand...

 


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Commentaires
T
Merci les filles de vous être inquiétée pour moi vous êtes des amours, toutes <3
F
Mais oui meuf t'es où? Ca va?
S
Mais c'est vrai t'es où? Putain ce mois de Novembre, faut qu'il prenne fin et vite, les articles sont déprimés (oui déprimés ! pas déprimants,non : Déprimés) Les bloggeuses disparaissent...Mais casse toi Novembre!
L
Je suis d'accord avec Laurie... T'es où????
L
ben alors poulette, t'as disparue ? Tu travailles d'arrache-pied avec le FBI c'est ça ? Sans rien, j'espère que tu vas bien ... Donne nous des niouzes !
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